Lycée de Chamalières : chercher l’excellence et jouer son image

Le lundi 3 octobre 2011 paraissait dans le Journal de l’Hôtellerie un article traitant des actions à l’étranger, des partenariats et des concours au sein du lycée. Le voici…
Chamalières (63) Des actions à l’étranger, des partenariats, des concours : c’est le menu en trois services de l’établissement.

Aller de l’avant, chercher l’excellence, le meilleur et s’ouvrir sur le monde professionnel, en France et à l’étranger. C’est le leitmotiv de Frédéric Huret, chef des travaux au lycée des métiers de l’hôtellerie et du tourisme de Chamalières depuis la rentrée dernière. « Nous avons connu un changement avec [l’arrivée de] Christine Pélissier, le nouveau proviseur. Cela permet de donner une orientation forte tout en continuant le travail de nos prédécesseurs », estime Frédéric Huret.


Frédéric Huret, chef des travaux du lycée de Chamalières : ‘L’attrait de la cuisine se confirme.’

Il y a deux grandes nouveautés pour la rentrée 2011. La première est l’ouverture d’une classe de première technologique ‘passerelle’ : « Elle doit permettre aux élèves en échec dans les filières classiques de se réorienter vers un bac technologique. » La deuxième est le lancement d’un partenariat avec Metro en Roumanie pour la création d’un futur centre de formation à Bucarest. Il est vrai que le lycée a acquis une certaine expérience dans ce domaine avec le lancement du centre de formation de l’hôtellerie, de la restauration et du tourisme de Fojnica en Bosnie-Herzégovine. Les enseignants avaient, entre autres, participé à la création et à la formation d’une classe pilote sur leur temps de vacances, et avec le soutien de la région Auvergne.

Un vrai réseau d’anciens élèves

Après avoir fêté ses trente ans à l’automne dernier, le lycée compte désormais un vrai réseau d’anciens élèves. Ces derniers se retrouvent un peu partout dans la région et dans le monde. Un plus pour l’image de l’établissement.

Le lycée a multiplié les partenariats : volailles fermières d’Auvergne, l’IUT de biologie de Clermont-Ferrand, les vins d’Auvergne, l’interprofession lapins Massif central. Et il a accueilli une quarantaine d’intervenants, professionnels, chefs en cuisine et viticulteurs pour des conférences, des préparations de repas à thème, etc.

Côté concours, la montée en puissance débutée cette année – tant pour leur organisation que pour la participation des élèves – va se poursuivre. Mais Frédéric Huret n’est pas seul bien sûr, les enseignants sont bien présents pour jouer le jeu à fond. « Certainement, c’est plus de travail, plus d’implication, mais le jeu en vaut la chandelle. Cela crée une dynamique un esprit d’équipe. Et c’est une vraie volonté en terme de communication pour les élèves et pour l’établissement. »

Pierre Boyer
Source : lhotellerie-restauration.fr